• La télécommande dans la machine à lavée.



    Un bain à la soupline.



    La déchéance du mardi soir qui fait des siennes.
    C'est pas ma faute, c'est la faute au sourire.
    J'y peux rien moi, le bonheur sa frappe sans jamais prévenir.



    Je me suis dit non, c'est pas possible, et si, il était là, face à moi. Pas si beau que ça, mais avec cette touche de charme qui nous fait perdre la tête, tourbillonner. Le bonheur c'est aujourd'hui. C'est quand je vois que j'arrive pas à écrire, c'est quand je fais des projets, c'est quand le bonheur. Maintenant, tout de suite, toujours. Tu sais toi. Le bonheur c'est des bribes de moments qui se rassemblent et forme un papillon qui arrive à battre des ailes. C'est lorsque je vois qu'elle comprend que non sa ne va plus, c'est lorsqu'il me dit "ta bile noir c'est un vrai entonoir", c'est la vie, c'est tout. La petite seconde passée, avec cette odeur, c'est le moment présent et ce regard, c'est les gens. C'est que personne pourrait effacer ce sourire. Dis moi, alors je suis comme tout ces couples pathétique à mourir ?
    Surement mais je m'en fiche. Parce que le bonheur c'est savoir être triste et heureux à la fois. Je sais.



    Quand mon état de joyolie sera trop perturbant, un café au Garden et se sera reparti.



    Ces mots de bonheur sont moches, ils sont trop nombreux, ils se ressemblent tous, mais pourquoi le renier. On est toujours là pour dire que ça ne va pas, alors soulignons le lorsque ça va. Tirons notre chapeau à celui qui était partit et qui s'est réincruster sur mes lèvres. Saluons les gens, embrassons les, sourions leur.



    Tu parles trop.



    C'est le syndrome de la joie.
    J'ai repris le capuccino.
    Je me suis réinscrite chez cofidis.



    Et parce que le bonheur m'a permise d'aller faire un tour chez Nina un soir. Si tu veux m'accompagner. Tu sais, le garden, un café avec Nina. Mais pas tout de suite, je savoure le pluie multicolore, Nancy, et vous. Avoir tant voulu fuire cette ville, pour cette autre ville. Et si j'étais partie, alors l'Irlande ne m'aurai pas appeler, ce sourire et ces paroles qui dégoulinent de joie n'aurai pas vu le jour.
    Les autres, ceux qui jamais ne me connaitrons, me prendrons pour une de ces gens qui souriraient au paillasson. Vous avez raison. Les freudiens et autre tergiversseurs en tout genre, resté dans votre bulle noire, Les gens heureux n'ont pas d'histoire. On a besoin de vous.



    Suivre ces envies.
    Alors mes lèvres sont rouges, mes bottes pommes, mes ailes violettes, mes yeux noirs, mes mots arcs en ciel.
    Un flechazo. Celui de Vous.



     



     







     


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    Je ne me lasse de ce carnet à spirale...
    N'osant à peine respirer, esperant juste que Si tu n'en a plus d'autre...c'est bien fait, ne vienne pas trop tôt.
    Les sourires parlent quand les lèvres restent ébahies.



    Sa tiens souvent à presque rien.




     




     



     



     


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  • A la demande express d'un Alex qui n'a su déposé ce message en réponse à l'article Soforia:




    <<Mesdemoiselles Les-gens-de-la-cuisine, je vous dois de grands bonheurs.


    Votre gastronomie tabou-timbalesque n'est que pur bonheur des papilles... Quelle diable Folie m'a amené à manger à votre... "table" ?


    Je me le demande encore.


    Toujours est-il que la blonde et la brune ne se sont pas faites que des amis. Une certaine association de vieilles sopranes frippées s'en est mise à revendiquer leur haine sur des affiches, dans le couloir.


    Faillit de guerre civile inter-pupitre.


    "Prière de faire doucement en vous couchant.">>



     



     



    Cette petite parenthèse close, une annonce déclarative officiellement informèle doit être avoué.
    Je suis jalouse.
    Quand à la seconde information, elle est interogativement officieuse et doit être dénoncé.
    Qu'est ce que je viens de dire là?!



     



     


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  • Vertige langoureux.






    Chute vers les étoiles.



    La spirale était vide.




    Rire.





    Une machine absurde de plus.







    Who r u ?




     


    L'institut audiovisuel, un certain vendredi 5 janvier 2007, entre chien et loup. L'encre en est le seul temoin.







     


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  •                                                            ,


     


     


     


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